HOMMAGES A MADIBA AVEC DES CITATIONS

"N’oublie pas qu’un saint est un pécheur qui cherche à s’améliorer."  

  "Les hommes qui prennent de grands risques doivent s'attendre à en supporter souvent les lourdes conséquences."  
  "J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de la vaincre."


 "Un combattant de la liberté apprend de façon brutale que c'est l'oppresseur qui définit la nature de la lutte, et il ne reste souvent à l'opprimé d'autre recours que d'utiliser les méthodes qui reflètent celles de l'oppresseur."

 "Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé."


 "Je savais parfaitement que l'oppresseur doit être libéré tout comme l'opprimé. Un homme qui prive un autre homme de sa liberté est prisonnier de sa haine, il est enfermé derrière les barreaux de ses préjugés et de l'étroitesse d'esprit. (...) Quand j'ai franchi les portes de la prison, telle était ma mission: libérer à la fois l'opprimé et l'oppresseur."   "Cela semble toujours impossible, jusqu'à ce qu'on le fasse".


  "Je n'étais pas un messie, mais un homme ordinaire qui était devenu un leader en raison de circonstances extraordinaires."


   "Mon plus grand regret dans la vie est de n'être jamais devenu champion du monde poids lourds de boxe." 


  "Il est sage de persuader les gens de faire des choses et de les amener à penser que l'idée venait d'eux".

"Je ne perds jamais. soit je gagne, soit j'apprends"

''Qui doit juger qui ?''

166126_le-journaliste-venance-konan-a-abidjan-le-12-juillet-2011
Venance Konan
"Alassane Ouattara ne juge que les partisans de Laurent Gbagbo et personne de son propre camp. Il pratique donc la justice des vainqueurs.

 C’est l’accusation qui est lancée contre le Président de la République, depuis quelque temps, et contre laquelle il doit se défendre.
Justice des vainqueurs ? Oui ! Et alors ? Peut-on nous dire, dans la longue histoire de l’humanité, où et quand le vainqueur a été jugé ou s’est jugé lui-même pour se punir d’avoir… vaincu ? Où et quand le plus faible a jugé le plus fort ?
Qui a jugé les Européens pour tous les crimes qu’ils ont commis en Amérique, en Afrique, en Asie ? Qui a jugé les Américains pour tous les crimes commis par leur armée au Vietnam, en Irak, en Afghanistan ? Qui cherche à les juger pour tous les enfants que leurs drones tuent tous les jours au Pakistan, en Afghanistan ? Qui a jugé les Français pour les crimes qu’ils ont commis durant la guerre en Algérie ? Qui a jugé Paul Kagame pour avoir soutenu la guerre qui a fait partir Mobutu du pouvoir, au prix de milliers, voire de millions de morts ? Qui ignore le nombre de corps sur lesquels Kabila père a marché, avec le soutien des Rwandais, pour parvenir à Kinshasa ? Pourquoi donc les justiciers d’aujourd’hui ne réclament-ils pas, avec autant de véhémence, que les auteurs de ces crimes soient, eux aussi, jugés ? Pourquoi les Américains ont-ils refusé de signer le traité de Rome instituant la Cour pénale internationale ? Parce que la grande puissance qu’ils sont refuse que quiconque ose vouloir les juger pour les crimes qu’ils commettent dans leurs guerres. Qui a jugé qui, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale ? Qui, dans l’histoire, a toujours jugé qui, à la fin de toutes les guerres ?

Morceaux choisis du discours de OBAMA en Afrique du Sud

"Dans trop de pays, l'action de bandits, de seigneurs de la guerre et de trafiquants d'êtres humains empêchent l' Afrique de concrétiser ses promesses", a-t-il déclaré devant un panel d'un millier de jeunes réunis dans l'université du Cap.

"L’histoire nous a montré que des progrès ne sont possibles que lorsque les gouvernements sont au service de leur peuple et non l'inverse",

 les promesses de la libération (de l'ancienne colonie britannique, la Rhodésie du Sud, devenue Zimbabwe) ont été suivies d'une corruption du pouvoir et d'un effondrement de l'économie." La veille, il avait déjà plaidé pour "des réformes" au Zimbabwe afin d'assurer que les élections, prévues cette année, soient "libres et équitables".

 "Au nom de notre famille, c'est emplis d'humilité que nous nous tenons ici, où des hommes d'un tel courage ont fait face à l'injustice et refusé de plier," a-t-il écrit dans le livre d'or de l'ancienne prison du régime raciste d'apartheid, devenue mémorial à l'avènement de la démocratie en 1994.  

"Le monde est reconnaissant aux héros de Robben Island, qui nous rappellent qu'aucun fer ou aucune cellule ne peuvent égaler la force de l'esprit humain," a-t-il ajouté.

SI J'ETAIS ALPHA CONDE...

Alpha Condé. PR de la Guinée
Si j'étais Condé... Si j’étais Alpha Condé, je chaufferais mes partisans en disant que je suis combattu par mes opposants, appuyés par des ennemis extérieurs parce que je mène le vrai combat, celui de l’indépendance réelle de mon pays, et de la dignité de mon peuple.
Si j’étais Alpha Condé, je dirais que je suis combattu par les forces impérialistes parce que j’ai entrepris de libéraliser le secteur minier et que j’ai ouvert le marché à des Brésiliens.
Si j’étais Alpha Condé, j’accuserais les réseaux françafricains de vouloir attenter à ma vie et brandirait chaque passage à Paris de l’un de mes opposants, comme preuve irréfutable du complot des forces coalisées de l’occident, pour me faire tomber.
Si j’étais Alpha Condé, je dirais que les forces internationales du mal ne supportent pas que la Guinée, un si petit pays d’Afrique, regorge d’autant de richesses, raison pour laquelle, elles combattent tous les dignes présidents qui se sont succédé jusque-là, dont l’intrépide Dadis Camara, ce digne fils de la Guinée, qui voulait rendre sa fierté au Guinéen et qui est accusé de tous les maux par les organisations internationales, à la solde des occidentaux.

Procès Gbagbo: la procureure de la CPI présente les charges



La procureure Fatou Bensouda aux côtés d'Eric MacDonald du bureau du procureur lors de la première audience. La Haye, le 19 février 2013.
La procureure Fatou Bensouda aux côtés d'Eric MacDonald du bureau du procureur lors de la première audience. La Haye, le 19 février 2013.
REUTERS/Michael Kooren

Par RFI
La Cour pénale internationale (CPI) a entamé ce mardi 19 février une audience qui doit s'étaler sur une dizaine de jours. Il s'agit pour les juges d'étudier si le dossier de l'accusation permet l'ouverture ou non d'un procès pour crime contre l'humanité. En clair, l'ancien président ivoirien peut-il être tenu pour responsable des violences postélectorales ?

 

© Copyright Pour la vraie démocratie en Afrique . All Rights Reserved.

Designed by TemplateWorld and sponsored by SmashingMagazine

Blogger Template created by Deluxe Templates