De
nombreux analystes estiment que plusieurs présidents africains doivent
regarder avec inquiétude les événements du Burkina Faso. Au Burundi, Rwanda, Bénin, Congo Brazza et RDC, les chefs d’ États sont accusés de vouloir, comme Blaise Compaoré, s'accrocher au pouvoir en modifiant leurs Constitutions.
C’est "un avertissement, à la fois pour les régimes vieillissants et pour ceux qui essaient de se maintenir au pouvoir au-delà des limites constitutionnelles", prévient, par exemple, Thierry Vircoulon, de l'International Crisis Group. |
AU REVOIR COMPAORE !
Publié par
Yacob. S Ouattara
on vendredi 31 octobre 2014
Libellés :
BurkinaFaso,
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Justice,
Libertés
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LE PEUPLE A TOUJOURS LE DERNIER MOT !